C’est pour moi l’année Pastis qui s’en est allée,

En réfléchissant, tout n’était pas si laid,

Même si dans la vie tout n’est jamais si rose,

A trop y déguster te guette la cirrhose,

Il était donc grand temps de revenir au vin,

Breuvage de l’homme mais aussi du divin,

Et vers cinquante deux j’espère le ciel bleu,

Pour toute la famille et mes potes délicieux,

Mais qui a décidé de ce calendrier,

Qui égrène les années comme des clopes au cendrier,

Arrêtons de penser qu’une fois par an préserve,

Célébrons tous les jours que le temps nous réserve,

Alors n’hésitez pas, souhaitez vous le meilleur,

Et du bonheur des autres soyez-en les veilleurs,

Toutes les minutes comptent depuis que nous sommes nés,

Pour l’amour des autres bien plus que les années,

Alors merci quand même pour mon anniversaire,

A vous tous mes amis qui de ma tête chassèrent,

Cet alcool Marseillais si cher a Fernandel,

Je lui préfère dix fois la menthe de Cabanel,

Poème du moyen-âge – auteur inconnu 🤣